chasseur de mamouths a écrit :
J'ai traversé l'Atlantique il y a quelques années et me suis "offert" une (trop) grosse semaine de très gros temps (jusqu'à 45 nds et 8m de creux). A l'issue de cette semaine secouée, tout était trempé à bord... Tout !
Fort de cette expérience, je pense que le rapport risque / plaisir est juste totalement disproportionné.
J'avais embarqué un Nikon D2 qui, tropicalisé, a parfaitement survécu.
J'ai eu plus de chance que vous, en 12 jours de traversée, 3 mini grains et des vagues de 2.5 m suite à une perturbation des alizés. Seule prise de risque, le passage de Gibraltar de nuit avec les cargos. En pleine mer, aucun souci. Bon, avec ce qui est considéré comme le Leica des voiliers de voyage, un Amel Santorin. Cockpit central profond, donc nettement moins d'exposition aux embruns et éléments. Ce qui n'empêche pas quelques déferlantes par ci par là...
En l'occurrence, c'est plutôt à terre que j'ai eu des soucis avec mon Lumix LX100. Il n'a pas aimé la plage... En navigation, lors de quelques épisodes un peu musclé, les boitiers étaient dans un box étanche.