Monsieur Jean Yves
Je n’ai aucune compétence pour juger vos photos ce qui ne m’interdit pas d’avoir une opinion outrée certes mais contestable.
Si je vous ai blessé, je vous présente mes excuses.
Mais mon inconduite vous a permis de bénéficier d’un élan de solidarité réconfortant et sûrement mérité.
Ceci a permis, aussi au cerbère numérique de justifier de ces longues heures de veille, caché derrière un rideau cathodique, comme ces vielles rosières qui guettent de leurs fenêtres, farouches et fières de leurs valeurs, le faux-pas condamnable d’une jeunesse forcément folle, chacun ses fantasmes.
Au plaisir de lire quelques photos.
PS : pour les impôts, je n’ai pas changé d’avis ....