En fait tu vas du sud au nord ?

Aurais-tu oublié de le mettre en mode automatique ?

Les entrées de lumière ne se font pas par le miroir.
La mousse de butée de relevage du miroir (des appareils reflex en possédant une) sert à amortir éventuellement le mouvement du miroir, rien de plus, et ils fonctionnent d'ailleurs parfaitement sans cette mousse.

Bien sûr, mais dans ce cas, il n'y a pas non plus de contrôle du diaphragme sur un appareil reflex Nikon. Le déplacement du bloc optique ne permet pas de faire le couplage mécanique.
C'est d'ailleurs la même chose avec les PC-SUPER-ANGULON 28mm et PA-CURTAGON 35mm Leica R.
De toutes manières, les Leica M fonctionnent toujours avec l'objectif à ouverture réelle.

Ce n'est pas une question de tableau de compatibilité dans ce cas précis, s'il s'agit bien d'un objectif avec une came R sans ROM. Il devrait se monter sur tous les R, du R4 au R9 compris.
Il faudrait le montrer à un atelier pour voir d'où vient le problème ; peut-être la came est-elle tordue ?

Je te remercie pour ces précisions.

Tu fais référence aux temps que j'ai publiés sur les tables pirates ; ils sont tirés de la fiche que publiait Rollei, présentée sur la dernière page de ce pdf, dans lequel j'ai assemblé la fiche Agfa originelle, et la page Rollei (page 8 du pdf).
Si Rollei donne maintenant un temps différent, c'est peut-être parce que l'origine du film qu'ils vendent sous ce nom a changé ? Je ne le sais pas, et ferai une recherche à ce sujet.

Cet appareil est présenté —très succinctement— dans les pages de documentation du site !

En jouant avec la courbe (en "S"), on peut atténuer le fond et renforcer le premier plan :



photo de gautier bidouillée par moi

Ces prototypes ont déjà été évoqués sur le site.

Le premier [ voir ici ] est une tentative d'utiliser les mêmes organes pour la gamme Leica R et la gamme Leica M : le châssis et le dos, l'armement et l'obturateur, ainsi qu'une partie de l'électronique de ce prototype de M6 sont ceux du Leica R4. Cela aurait fait de ce Leica M6 un automatique plus proche du Leica M7 —intégrant également un automatisme intégral— et aurait signifié l'abandon de l'obturateur à défilement horizontal. Avec le recul, on sait que cela aurait également signifié la commercialisation d'un appareil moins robuste et durable que le vénérable M6 mécanique finalement retenu, qui est tout simplement un M4-P intégrant une cellule.
Sans que rien de très précis n'ait été publié à ce sujet, il semble que l'idée aurait été abandonnée parce que l'obturateur à lamelles à défilement vertical aurait pu causer quelques fuites de lumière sur le film en n'étant pas protégé par le miroir comme cela est le cas sur un reflex.

Le deuxième prototype concerne un Leica M5 qui aurait non seulement abandonné le châssis M initial, mais aussi la baïonnette, rendant ce système non compatible avec les M précédents. Là aussi, Leitz a finalement opté pour la continuité, le Leica M5 commercialisé étant techniquement un M4 ayant reçu le contrôle de l'exposition. Le choix d'afficher des données dans le viseur au moyen de systèmes de roues dentées et de tringleries commandées par un potentiomètre a nécessité d'augmenter le volume du châssis, faisant du M5 un boîtier un peu à part dans la lignée Leica M.
Le M6 suivant utilisant un système électronique du lieu d'un système électromécanique a permis de conserver le châssis initial sans prise d'embonpoint.

On doit pouvoir également trouver pas trop cher le Tele-Elmarit 90 M.

L'Elmarit R 90 dernière version a exactement la même formule optique que l'Elmarit M.
Le rendu sera donc identique, mais sans la mise au point télémétrique, ce qui est dommage.

Vue de l'Elmarit R 90 dernière version (image issue d'une vente eBay terminée)

Il ne doit plus très bien marcher maintenant.

Oui.

Lorsqu'on utilise une cellule à main, on reporte sur son appareil photo les indications qu'elle donne pour la valeur ISO choisie sur la cellule.
Puis on développe en conséquence.

Effectivement, si pour ISO 400/27 on a f/8 et 1/250,
pour ISO 200/24 on a f/8 et 1/125 (temps deux fois plus long), ou f/5.6 et 1/250.

Oui, que ce soit un M ou un autre appareil photo (référence au titre - d'ailleurs, je déplace ce fil dans la section laboratoire argentique, c'est plus approprié), si on veut sur-exposer un film (ou l'utiliser à toute autre sensibilité que la sensibilité initiale), on utilise la cellule en la réglant sur la sensibilité désirée.
Il faut juste s'assurer, en regardant les documentations techniques des films, qu'ils peuvent être utilisés ainsi.
En règle générals, sous-exposer ou sur-exposer d'un IL ne pose pas vraiment de problème quel que soit le film.