pauvres de nous!
Posté:
mercredi 4 février 2004 - 8:35
par alain.besancon
Après la croqueuse d'hommes, le "solvant à mecs" .... ce site est à "consommer avec modération".
Ceci étant, je ne désespère pas que ces accessoires d'un siècle passé reviennent sur le devant de la scène ... car fiables!
Le remontage à la main, vieux comme le monde, a encore de l'avenir
Alain
Posté:
mercredi 4 février 2004 - 10:20
par Georges invité
... espérons que ce soit ce boitier qui ait immortalisé le coureur noir américain qui gagna une course, face à un régime nazi qui entendait faire de ces "jeux de 36" la démonstration de leur prétendue supériorité.
Les dictateurs de toutes sortes aiment les JO et les coupes du monde de foot, nous aimons les Leica qui filment le courage, la liberté et la fraternité.
la belle mécanique
Posté:
mercredi 4 février 2004 - 12:43
par villegas juan carlos
La belle mécanique et en plus motorisée !
Vous avez raison Zekkar, leica faisait des petites merveilles bien avant l'apparition du M7.
Posté:
mercredi 4 février 2004 - 14:40
par Filament
On peut considérer qu'avec le Leicavit il y a un début de retour aux sources.
Posté:
jeudi 5 février 2004 - 9:50
par Ekreviss
Oui, mais Tom Abrahamsson propose cet accessoire depuis 1987 !!!
www.rapidwinder.com
Posté:
jeudi 5 février 2004 - 11:30
par Raph
il s'agit à priori d'un boitier IIIB ou IIIC sur la photo...............ainsi que d'un moteur "Mooly", géniale invention de Mr. Hermann Papst. Celui ci est selon mes sources commercialisé dès 1938........donc deux ans après les JO de Berlin.
Avez vous des infos différentes Zekkar?
Pour ce qui du Leicavit, le rapidwinder est un entrainement manuel basé sur le Leicavit du Leica MP, donc
de 1956, 30 ans avant Tom........
Raph
Posté:
mardi 10 février 2004 - 12:26
par Pascal68
Voici une autre image:
"Chrome Leica II"
No. 271098 (1938) fitted with a Summarex 85/1.5 lens, SGOOD 85mm brightline viewfinder and MOOLY motor along with an assortment of Leitz filters. by Tom Abrahamsson
Posté:
mercredi 11 février 2004 - 13:25
par Raph
@Zekkar,
merci pour ces explications........cela fait donc longtemps que Leica fait tester son matos avant de lancer une grose série.
la version chrome Summarex se trouve assez facilement de nos jours(1'200€ - 1'500€ quand meme), pour la version noire............il faut craquer les coffres des collectionneurs
A+
Raph
Leica III a
Posté:
mercredi 11 février 2004 - 19:14
par Jean
L'examen minutieux de l'image du boîtier accouplé à un Mooly, transmise le 4 février par Zekkar, permet d'affirmer qu'il s'agit d'un Leica III a.
On devine, en effet la présence d'une commande de loupe de visée sur l'oculaire , qui, à partir du III b, se retrouve sous la molette de rembobinement du film. Et sur ce boîtier on ne la voit pas.
Les premiers IIIa sont sortis en 1935, année du décés prématuré du regretté Oscar Barnack, mort d'une crise d'asthme.
Les premiers Mooly sont sortis effectivement en 1938, et n'étaient adaptables qu'aux boîtiers jusqu'au III b compris.
A partir du IIIc , ceci est pour Raph, est apparu en 1940 le Mooly C, pour être utilisé sur ce boîtier plus large de 2,8mm. L'ère des Leica entièrement fabriqué à la main s'arrêtant au III b, je suppose que l'augmentation de largeur était dûe à des impératifs de construction industrielle.
Et nos prédecesseurs photographes faisaient des merveilles avec ces appareils dépourvus bien évidemment de toute électronique, jusqu'à l'absence de prise de flash qui n'existait pas à l'époque. Tout était pris en "available light", avec des films de faible sensibilité.
Serions-nous trop gâtés?
Re: Leica III a
Posté:
mercredi 11 février 2004 - 19:26
par Filament
Jean a écrit :
Les premiers IIIa sont sortis en 1935, année du décés prématuré du regretté Oscar Barnack, mort d'une crise d'asthme.
Jean, je ne veut pas "pinailler" mais Oscar Barnack n'est-il pas mort en 1936 ?
Posté:
mercredi 11 février 2004 - 20:49
par Bernard
M'enfin ça va par recommencer avec les coléoptères ....
surtout
Posté:
mercredi 11 février 2004 - 21:23
par alain.besancon
Surtout qu'ils ont un petit ...
Je PLAISANTE, une page d'histoire ne saurait faire de mal
Alain