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MessagePosté: samedi 12 mars 2016 - 8:18
par raymondo
Bonjour Laurent

Je te conseille de commencer par ce livre: http://www.amazon.fr/Noir-blanc-prise-v ... 221213827X .Quelque soit l'aide que tu pourras trouver dans ton environnement, cet ouvrage de référence te permettra de t'appuyer sur des méthodes éprouvées et intemporelles.

Cdt

Raymondo

MessagePosté: samedi 12 mars 2016 - 21:12
par phil66
Laurent BLASCO a écrit :
Livre commandé à l'instant sur Amazon
Un peu de lecture pour les prochains jours
Merci de ce conseil Raymondo


c'est la bible ! bonne lecture !

MessagePosté: samedi 12 mars 2016 - 21:41
par DRUON
Bonjour Laurent.
Pourquoi ne pas essayer le cafénol?
Pour un premier essai sur des ^pellicules sans trop de valeur et ^pour commencer le noir&blanc.
Avantage certain: les ingrédients se trouvent en pharmacie ( pour la vitamine C" en en supérette pour le reste, donc le Dimanche compris!
Pour 1 litre de révélateur :
Ingrédients :
54 g de carbonate de sodium ( lessive cf photo)
14 g de vitamine C ( cf photo)
40 g de café soluble
Compléter d’eau jusqu’à 1 litre de volume au total. Et obtenir 20°C
12 mn pour une pellicule 400 ASA
8 mn pour une 125 asa.
Agitations : doucement 2 à 4 fois la première minute puis 1 fois toutes les minutes.

Bien rincer à l’eau
Puis, fixateur classique ( 2 à 3 minutes)
Puis bain d’arrêt : eau + quelques gouttes de liquide vaisselle.













Bons essais!

Dominique

MessagePosté: lundi 14 mars 2016 - 2:00
par galloups

MessagePosté: mercredi 30 mars 2016 - 22:08
par chuber
Et l'accession à large antique avec le moyen format format 120 tu atteins des sommets !
Vrai !

MessagePosté: jeudi 31 mars 2016 - 7:21
par raymondo
chuber a écrit :
Et l'accession à large antique avec le moyen format format 120 tu atteins des sommets !
Vrai !


Je confirme. Le moyen format en argentique, c'est pas du toc!!!

Cdt

Raymondo

MessagePosté: jeudi 31 mars 2016 - 16:26
par jmarcio
Sinon, sur le site de Ilford, il y a plein de documents pdf téléchargeables, très intéressants, surtout pour aller plus vite.

http://www.ilfordphoto.com/applications/page.asp?n=16

Mais on peut aussi parcourir l'ensemble du site... plein d'infos.

MessagePosté: mercredi 6 avril 2016 - 14:41
par DRUON
Bonjour Laurent.

Je vous propose de conjuguer la découverte de l'argentique et de l'alccol, pour vos premiers essais de développement d'un film.
Bien évidemment, je vous mets en garde pour contre les effets d'un abus prolongé , sur le vin surtout...
j'avais déjà expliqué le CAFENOL, pour l'avoir utilisé.
Voici la méthode: ( il existe une variante avec des feuilles de thé, et de la sauge) !
VINOL (vin)

Remarque : le vin utilisé doit être du vin rouge, de la plus mauvaise qualité possible... le moins cher, le "gros qui tache", sera donc le meilleur pour le laboratoire alternatif. Bon, je suppose qu'un excellent Pétrus ferait également l'affaire mais je préfère garder ce dernier pour ma table !...

EN STAND DÉVELOPPEMENT:
Mauvais vin température sans importance, le mieux étant 20°C
Dans un récipient 800ml
Carbonate de sodium anhydre (Na2CO3)
Attendre la dissolution totale 100g
Vitamine C pure
Il va se créer de la mousse, c'est normal
Attendre la dissolution totale et la disparition de la mousse 10g
Sel fin de table iodé
Attendre la dissolution totale 12g
Compléter le solution avec du vin pour obtenir
Agiter un peu
Laisser reposer pendant 5 mn 1000ml
Remplir la cuve de développement contenant le film
Retournements doux x 10
Laisser reposer * 70mn
* il est possible d'augmenter l'activité de son développeur en vidant la cuve de développement au bout de 30mn et en la remplissant à nouveau avec la même solution et de re-partir pour 30mn de développement... D'où durée totale de développement de 60mn.

EN TECHNIQUE "CLASSIQUE" :
Mauvais vin température sans importance, le mieux étant 20°C
Dans un récipient 800ml
Carbonate de sodium anhydre (Na2CO3)
Attendre la dissolution totale 150g
Vitamine C pure
Il va se créer de la mousse, c'est normal
Attendre la dissolution totale et la disparition de la mousse 16g
Sel fin de table iodé
Attendre la dissolution totale 12g
Compléter la solution avec du vin pour obtenir
Agiter un peu
Laisser reposer pendant 5 mn 1000ml
Remplir la cuve de développement contenant le film
Retournements doux x 10
Retournements doux x 3 / mn
Durée totale du développement 15 mn
Critique de la recette :
Le développement à base de vin entraîne une coloration rouge violacée du négatif, ce qui limite son utilisation sous l'agrandisseur. À la numérisation, cette coloration rouge violacée peut être corrigée facilement.
Pour le développement papier, cette coloration rouge violacée peut être recherchée pour donner un aspect ancien à vos images...

Pour rendre à César ce qui est à César, ces informations proviennent du site:
http://www.thydelor.eu/photographie/labo3.html

amicalement,
Dominique

MessagePosté: mercredi 6 avril 2016 - 17:30
par amansjeanphilippe
Hello
Laurent BLASCO a écrit :
je m intéresse depuis peu à l argentique
Je souhaiterais avoir des conseils en développement de pellicules N&B. L idée serait de m équiper bientôt pour monter un petit labo à la maison
Je cherche une personne passionnée dans la région d.Aix en Provence ou Saint Maximim (83) qui voudrait bien passer un peu de temps à m expliquer les bases.
Merci d avance aux personnes intéressées
Laurent


mon point de vue sur votre question:
excellente idée que de faire du NB, mais attention, il y a des choix "stratégiques" à faire au début qui peuvent rendre le NB "facile" ou "beaucoup + facile"

méthode "facile"
livre de "Bachelier"
cuve paterson
film ilford
chimie ilford

méthode "beaucoup + facile"
livre: trilogie d'Ansel Adams the camera-the negative-the print (car le Bachelier n'en est qu'une pâle copie un peu succincte)
cuve JOBO série 1500 avec un rotocuve AHEL (ou une copie à faire en mécano) car JOBO est une cuve qui ne fuit pas, elle est évolutive....
film kodak, Rollei, AGFA
chimie kodak, TETENAL, AGFA

Personnellement, je me suis emmerdé (désolé pas, de terme + juste) avec une cuve paterson, les films et chimies ilford pendant bien 10 ans. Je n’obtenais pas d'images bien nettes à cause du support diffusant des films et les chimies me donnaient des négatifs assez pâles. Les cuves paterson fuyaient et dégueulassait l'émail du lavabo (les taches brunes de chimies durent des années)
Ensuite je suis passé à AGFA avec les feu agfapan 25, 100 et 400 et rodinal, et tout d'une coup, c'est comme si le brouillard s'était dissipé...
Aujourd'hui, j'utilise des films Rollei (RPX-25, retro400S) avec de l'Ultrafin TETENAL avec le même bonheur.

Vous voulez faire du NB et c'est très bien. Il convient de procéder en deux étapes d'apprentissages:
1) à la lecture des forums, choisissez quelques films à essayer suivant les rendus des images qui vous plaisent. Vous achetez 2 ou 3 films de chaque avec un révélateur "standard" (kodak D-76, ilford ID-11) et vous faites des photos. Vous développez les films en suivant le mode d'emploi.

2) suivant les résultats obtenus, vous sélectionnez un ou deux films (genre un 25 asa et un 400 asa) et vous en achetez 10 ou 20 de chaque. Vous achetez les révélateurs conseillés pour les films que vous avez choisi en fonction de ce que vous avez lu dans les forums où vous avez trouvé les exemples de rendu qui vous ont plu.
Vous faites des photos et maintenant vous aller tester le rendu des films en faisant varier les paramètres du révélateur (dilution, température, agitation) afin de comprendre sa dynamique et découvrir son amplitude (à sortir des sentiers battus des notices). Ainsi, je me suis aperçu qu'on pouvait sur exposer bien + que n'indique la norme tout en ayant un négatif scannable (genre exposer un film 400 à 100 asa et le développer avec le temps pour 400 asa), qu'on pouvait allonger les temps de développement sans monté du voile, changer les dilutions ...

Bien sur, on ne jette rien (et surtout pas l'amorce de film qui permet de comparer l'efficacité du révélateur) et on note tout (sur les feuille cristal PANODIA où on range tous les films développés).

mon dealer préféré, mais il y en a d'autres

J.Ph.

MessagePosté: jeudi 7 avril 2016 - 5:56
par phil66
amansjeanphilippe a écrit :
Hello
Laurent BLASCO a écrit :
je m intéresse depuis peu à l argentique
Je souhaiterais avoir des conseils en développement de pellicules N&B. L idée serait de m équiper bientôt pour monter un petit labo à la maison
Je cherche une personne passionnée dans la région d.Aix en Provence ou Saint Maximim (83) qui voudrait bien passer un peu de temps à m expliquer les bases.
Merci d avance aux personnes intéressées
Laurent


mon point de vue sur votre question:
excellente idée que de faire du NB, mais attention, il y a des choix "stratégiques" à faire au début qui peuvent rendre le NB "facile" ou "beaucoup + facile"

méthode "facile"
livre de "Bachelier"
cuve paterson
film ilford
chimie ilford

méthode "beaucoup + facile"
livre: trilogie d'Ansel Adams the camera-the negative-the print (car le Bachelier n'en est qu'une pâle copie un peu succincte)
cuve JOBO série 1500 avec un rotocuve AHEL (ou une copie à faire en mécano) car JOBO est une cuve qui ne fuit pas, elle est évolutive....
film kodak, Rollei, AGFA
chimie kodak, TETENAL, AGFA

Personnellement, je me suis emmerdé (désolé pas, de terme + juste) avec une cuve paterson, les films et chimies ilford pendant bien 10 ans. Je n’obtenais pas d'images bien nettes à cause du support diffusant des films et les chimies me donnaient des négatifs assez pâles. Les cuves paterson fuyaient et dégueulassait l'émail du lavabo (les taches brunes de chimies durent des années)
Ensuite je suis passé à AGFA avec les feu agfapan 25, 100 et 400 et rodinal, et tout d'une coup, c'est comme si le brouillard s'était dissipé...
Aujourd'hui, j'utilise des films Rollei (RPX-25, retro400S) avec de l'Ultrafin TETENAL avec le même bonheur.

Vous voulez faire du NB et c'est très bien. Il convient de procéder en deux étapes d'apprentissages:
1) à la lecture des forums, choisissez quelques films à essayer suivant les rendus des images qui vous plaisent. Vous achetez 2 ou 3 films de chaque avec un révélateur "standard" (kodak D-76, ilford ID-11) et vous faites des photos. Vous développez les films en suivant le mode d'emploi.

2) suivant les résultats obtenus, vous sélectionnez un ou deux films (genre un 25 asa et un 400 asa) et vous en achetez 10 ou 20 de chaque. Vous achetez les révélateurs conseillés pour les films que vous avez choisi en fonction de ce que vous avez lu dans les forums où vous avez trouvé les exemples de rendu qui vous ont plu.
Vous faites des photos et maintenant vous aller tester le rendu des films en faisant varier les paramètres du révélateur (dilution, température, agitation) afin de comprendre sa dynamique et découvrir son amplitude (à sortir des sentiers battus des notices). Ainsi, je me suis aperçu qu'on pouvait sur exposer bien + que n'indique la norme tout en ayant un négatif scannable (genre exposer un film 400 à 100 asa et le développer avec le temps pour 400 asa), qu'on pouvait allonger les temps de développement sans monté du voile, changer les dilutions ...

Bien sur, on ne jette rien (et surtout pas l'amorce de film qui permet de comparer l'efficacité du révélateur) et on note tout (sur les feuille cristal PANODIA où on range tous les films développés).

mon dealer préféré, mais il y en a d'autres

J.Ph.


Avec une rotocuve, est ce que ça veut dire que vous développez le N&B en agitation continue ?

MessagePosté: jeudi 7 avril 2016 - 6:56
par summilord
Vous faites vraiment tout pour embrouiller un jeune désireux de se lancer dans la belle aventure de l'argentique
Il existe des procédés simples éprouvés depuis des années qui permettent de faire des gammes avant de se lancer dans des aventures au café ou au pinard
Pour avoir des bases correctes commencer par un film classique: trix ou hp5 qui sont très tolérants
utiliser un révélateur classique (id11 xtol ilfosol ou rodinal)
une cuve normale (paterson, jobo ou ap) le développement dure 10mn, c'est pas la mort
pratiquer l'agitation préconisée par les fabricants
une fois obtenu un résultat satisfaisant et un process maitrisé on peut essayer d'autres choses.

MessagePosté: jeudi 7 avril 2016 - 9:39
par amansjeanphilippe
Hello
phil66 a écrit :
amansjeanphilippe a écrit :
Hello
Laurent BLASCO a écrit :
je m intéresse depuis peu à l argentique
Je souhaiterais avoir des conseils en développement de pellicules N&B. L idée serait de m équiper bientôt pour monter un petit labo à la maison
Je cherche une personne passionnée dans la région d.Aix en Provence ou Saint Maximim (83) qui voudrait bien passer un peu de temps à m expliquer les bases.
Merci d avance aux personnes intéressées
Laurent


mon point de vue sur votre question:
....
mon dealer préféré, mais il y en a d'autres

J.Ph.


Avec une rotocuve, est ce que ça veut dire que vous développez le N&B en agitation continue ?


oui et sans bulles, sans zones ni variation d'une cuve 1500 à une cuve 2500 qui n'ont pas le même diamètre extérieur car l'entrainement périphérique assure une vitesse constante du film dans la chimie... ce qui n'est pas le cas avec les machines JOBO qui entrainent par l'axe.
Le film cinéma est développé aussi en continu, tout comme le film photo aérien...

summilord a écrit :
Vous faites vraiment tout pour embrouiller un jeune désireux de se lancer dans la belle aventure de l'argentique

je suis d'accord avec toi pour les chimies exotiques. Ce que je reproche à la petite dizaine de cuve paterson que j'ai utilisé c'est leur forte aptitude à fuir, leur capacité à casser quand on tape le fond pour chasser les bulles, leur inaptitude à évoluer vers des capacités supérieurs, leur spires automatiques sans marche arrière, leur aptitude à faire des zones en cas d'agitation trop forte...
Bref, quand je suis passé à JOBO pour développer le 4x5 dans une cuve 2500, je me suis rendu compte de l'énorme différence entre les deux marques et si je garde une paterson à la maison, c'est uniquement parce qu'elle me vient de mon cousin décédé.

Avec une JOBO 15xx à 5 spires et un dispositif genre rotocuve, tu peux développer 5 films avec 600ml alors qu'avec ce même volume de chimie, tu es obliger de faire trois cycles de développement avec des temps différents... donc pas facile d'obtenir des négas homogènes.

summilord a écrit :
commencer par un film classique: trix ou hp5 qui sont très tolérants

Je suis aussi d'accord avec toi quand tu dis, mais je pousse un peu + loin en suggérant de tester quelques film le rendu souhaité (voir le 1) de ma première réponse. Par exemple, si on recherche un rendu "granuleux", la TriX est un choix possible, tout comme la Rollei retro400S ou la Rollei IR400. Si au contraire on cherche un rendu au rasoir, on doit pouvoir trouver son bonheur dans de la Rollei RPX-25, de la Ilford Delta-100, de la Fuji Across 100 voire du Spur...

un topic bien intéressant à lire et regarder

Je ne dis pas que je détiens la vérité vraie et l'ultime savoir, mais après + de 35 ans de photo argentique et NB, je partage mes échecs du début qui sont majoritairement dus au fait que j'ai écouté les vieux, qui n'y connaissaient finalement pas grand chose, qui me disaient "ilford+paterson"

Le NB est effectivement très simple, mais demande quand même un minimum de travail personnel pour comprendre comment cela fonctionne (les livres d'A Adams et Bachelier sont des portes d'entrée dans ce domaine...)

J.Ph.

MessagePosté: jeudi 7 avril 2016 - 10:42
par Envol
citation :
Je ne dis pas que je détiens la vérité vraie et l'ultime savoir, mais après + de 35 ans de photo argentique et NB, je partage mes échecs du début qui sont majoritairement dus au fait que j'ai écouté les vieux, qui n'y connaissaient finalement pas grand chose, qui me disaient "ilford+paterson"


Le problème c'est qu'aujourd'hui vous êtes un vieux qui donne de mauvais conseils aux débutants.

Je ne sais pas combien Paterson a vendu de cuves mais si elles fuient tant que ça, il y a belle lurette que cette marque aurait disparu.
Quant à conseiller d'utiliser films exotiques de provenance douteuse et révélateurs incapables de donner des résultats constants, c'est la meilleure façon de dégouter un débutant.

Relisez la réponse de summilord c'est la seule qui répond à la demande.

MessagePosté: jeudi 7 avril 2016 - 12:03
par summilord
J'utilise des paterson depuis 40 ans sans aucun problème, j'ai la chance d'en posséder de différentes tailles de 2 à 8 films cela me permet de m'adapter au nombre de films à traiter. Pour un débutant c'est une solution de départ qui permet de maitriser le développement sans investissement couteux
Pour le film, c'est la même chose. J'utilise la trix depuis toujours et sans soucis, mais tentatives vers d'autres films ne m'ont jamais satisfait. Cela me permet d'avoir un résultat très constant grâce à la tolérance de ce film et d'avoir du temps pour me consacrer au tirage qui est le but du labo (en plus cela correspond au rendu que je souhaite mais ça c'est perso)
Les films genre Rollei ne pardonnent pas grand chose et sont plus difficiles à maitriser pour un débutant
Lorsqu'on apprend à conduire, on se fait la main sur une petite voiture facile à conduire

MessagePosté: jeudi 7 avril 2016 - 14:04
par adrien de cannes
Franchement je trouve ça hallucinant de conseiller le cafenol à un débutant... Si son 1er film est foiré, en plus de se poser des questions sur l'exposition du film, la température, la dilution, l'agitation du bain... faudra se poser des questions sur la bonne préparation de la chimie, du bon dosage des ingrédients...
Le cafenol c'est de la branlette intellectuelle, le résultat sera pas garantie ni continu.
Une bouteille de rodinal c'est 5e, on developpe au moins 25 films avec. La seul contrainte c'est de rajouter de l'eau et mesurer la température. Pourquoi se compliquer la vie?
"Lorsqu'on apprend à conduire, on se fait la main sur une petite voiture facile à conduire"
Adrien