Posté: vendredi 4 janvier 2013 - 11:26
Je suis allé il y a plus de deux ans photographier mon boulanger dans ses oeuvres.
Il m'a fallu deux séances pour obtenir quelques photos suffisamment parlantes.
Tout se passe de nuit, à la seule lumière d'un éclairage au néon pas vraiment idéal en photo.
Objectifs : Summilux 50 mais surtout Summilux 35 na.
Film : Neopan 1600 exposé à 800, développé dans du D76 dilué 1:1.
Le travail commence durant la nuit.
Préparation des ingrédients : épeautre, froment, sel et eau. Sans oublier levure ou levain. Le tout sera travaillé dans le pétrin mécanique.
1.
La pâte obtenue est sortie du pétrin, pesée et répartie en parts égales. Ces dernières sont façonnées manuellement en boules.
2.
3.
4.
Ces boules de pâte sont mises à lever dans des formes appelées pannetons.
Elles séjourneront tout un temps en chambre chaude.
5.
6.
7.
La pâte a levé, est sortie des pannetons et est enfournée rapidement.
8.
Le four s'ouvre. La cuisson est terminée.
9.
Les pains sont sortis du four. Ils sont brûlants, la croûte crépite et sent bon.
10.
Ce travail de boulanger est physiquement assez pénible. Pascal ne perd pas un instant car la pâte n'attend pas. Qu'elle prenne un coup de froid et la fournée pourrait être ratée.
C'est seulement en fin de travail, le jour étant levé et le pain cuit que j'ai eu droit à ce portrait.
A aucun moment je n'ai osé l'interrompre dans sa tâche.
11.
Il m'a fallu deux séances pour obtenir quelques photos suffisamment parlantes.
Tout se passe de nuit, à la seule lumière d'un éclairage au néon pas vraiment idéal en photo.
Objectifs : Summilux 50 mais surtout Summilux 35 na.
Film : Neopan 1600 exposé à 800, développé dans du D76 dilué 1:1.
Le travail commence durant la nuit.
Préparation des ingrédients : épeautre, froment, sel et eau. Sans oublier levure ou levain. Le tout sera travaillé dans le pétrin mécanique.
1.
La pâte obtenue est sortie du pétrin, pesée et répartie en parts égales. Ces dernières sont façonnées manuellement en boules.
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Ces boules de pâte sont mises à lever dans des formes appelées pannetons.
Elles séjourneront tout un temps en chambre chaude.
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La pâte a levé, est sortie des pannetons et est enfournée rapidement.
8.
Le four s'ouvre. La cuisson est terminée.
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Les pains sont sortis du four. Ils sont brûlants, la croûte crépite et sent bon.
10.
Ce travail de boulanger est physiquement assez pénible. Pascal ne perd pas un instant car la pâte n'attend pas. Qu'elle prenne un coup de froid et la fournée pourrait être ratée.
C'est seulement en fin de travail, le jour étant levé et le pain cuit que j'ai eu droit à ce portrait.
A aucun moment je n'ai osé l'interrompre dans sa tâche.
11.