Leica IIIC Bricolé ?
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| Jean D. |
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 Membre des Amis Messages : 6245Depuis le 24 jan 2004 Paris  |
Bonjour ! Dido a raison : les tétons nous font perdre la tête !
Ekreviss a écrit : Et si on faisait des images au lieu de se faire ch... sur des détails aussi horripilants ? ... ) c'est parce qu'au départ Fotoriton a posé une question et que nous cherchons à comprendre à quoi sert ce "téton surnuméraire", qui n'apparaît donc pas systématiquement sur tous les boîtiers Leica entre le IIIc et le M2 (et dérivés), contrairement à ce que je pensais. Mon If de 1955 en est pourvu... Quant aux M3 et M2, là j'ai bien l'impression qu'ils possèdent tous ce téton ! L'interrogation qui nous taraude maintenant, c'est l'utilité du "téton surnuméraire", et pourquoi certains boîtiers en sont dépourvus : nous voici dans une insoutenable perplexité !
Jean D. |
| Piga |
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 Membre des Amis Messages : 4758Depuis le 13 nov 2005 Strasbourg |
Bonjour, Jean D. a écrit : L'interrogation qui nous taraude maintenant, c'est l'utilité du "téton surnuméraire", et pourquoi certains boîtiers en sont dépourvus : nous voici dans une insoutenable perplexité !Désolé de répondre si tard mais en 2005 je ne fréquentais pas encore Summilux.net. Le téton surnuméraire a été mis en place en cours de vie du IIIc et a disparu en cours de production du M4 (les premiers M4 en étaient encore pourvus me semble-t-il). Il servait à fixer de manière précise le boîtier sur le dispositif de reproduction Reprovit II. Il est probable que le boîtier montré par "Fotoriton" page précédente a été souvent utilisé ainsi, ce qui explique l'usure de la vulcanite à cet endroit précis. Le Reprovit II a été produit à partir de 1949, donc la modification des IIIc a dû intervenir autour du n° 450 000 ; du point de vue de l'archéologue il serait intéressant de savoir si des boîtiers antérieurs ont déjà cette modification. Si oui elle correspondrait à une modification du prédécesseur du Reprovit II, apparu en 1938 - qui d'ailleurs ne s'appelait pas Reprovit mais portait juste le code OOCAY (un Reprovit I est apparu en 1951 et correspondait à un Reprovit II simplifié). Il est intéressant de noter que le regretté Dennis Laney montre, p. 83 de son "Leica Collector's Guide" (2ème édition) la photo du Leica 72 n° 357 213 donc a priori bien antérieur à 1949, muni de ce second téton. L'explication est sans doute que les n° de série 357 000 n'avaient pas été alloués à l'époque à une production déterminée et ont été repris par la suite. Postérieurement à l'apparition du M4, les boîtiers MDa et MD-2, boîtiers sans viseur à vocation scientifique ou pour la reproduction, ont conservé ce téton. Ceci confirme sa vocation utilitaire. |
| Jean-Pierre Dep |
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 Spécialiste Messages : 1463Depuis le 14 mai 2007 Belgique-Namur |
J'adore  |
| Alain Ancia |
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 Régulier Messages : 109Depuis le 12 fév 2011 Charleroi |
Bonjour , Sur mon Leica IIIa ce téton n’existe pas, par contre mon IIIf est équipé de cette protubérance qui cale l’appareil dans la barrette du flash, barrette qui présente un trou dans lequel s’emboite ce téton. Bonnes photos Alain |
| Piga |
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Membre des Amis Messages : 4758Depuis le 13 nov 2005 Strasbourg |
En effet ! Ce support de flash, (code CTOOM) permettait d'éloigner le flash de l'axe optique, ainsi que de l'orienter. Produit à partir de 1953 il a tiré parti de ce téton pour solidariser fermement le flash au boîtier. J'ai vu sur un site américain (photo.net) que le renommé réparateur DAG peut installer ce téton sur les M qui en sont démunis (sauf les M5 bien sûr ) ; je ne suis pas certain que ce type de modification soit très fréquent...Je pense qu'il peut également l'installer sur un vissant, mais l'utilité est discutable car les modèles antérieurs au IIIf n'ont pas la synchro flash ; à moins qu'il s'agisse d'un boîtier modifié pour... Mais là on se lance dans le bizarre ! |
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